Yahoo Search Busca da Web

Resultado da Busca

  1. Emmanuel Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duque d'Aiguillon (Paris, 31 de julho de 1720, [1] [2] — Paris, 1 de setembro de 1788), pair de France, em 1740, conde d'Agénois e de Condomois e, em seguida, duque d'Agénois e duque d'Aiguillon, etc., [3] foi um general e estadista francês.

  2. Armand Emmanuel Sophie Septimanie de Vignerot du Plessis, 5th Duke of Richelieu and Fronsac (25 September 1766 – 17 May 1822), was a French statesman during the Bourbon Restoration. He was known by the courtesy title of Count of Chinon until 1788, then Duke of Fronsac until 1791, when he succeeded his father as Duke of Richelieu .

    • Personnalité
    • Biographie
    • Carrière militaire
    • Carrière politique
    • Causes
    • Controverse
    • Gouvernement
    • Contexte historique
    • Fonctions
    • Critiques
    • Conséquences

    Emmanuel-Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d'Aiguillon, pair de France (1740), comte d'Agénois et de Condomois puis duc d'Agénois et duc d'Aiguillon1, est un militaire et homme d'État français né à Paris le 31 juillet 17202,3 et mort à Paris le 1er septembre 1788. Il est membre du parti dévot et de l'opposition au parti de Choiseul et so...

    Maréchal de camp, commandant en chef de Bretagne, il s'y rend impopulaire par sa lutte contre La Chalotais et le Parlement de Bretagne. Il est rappelé à la cour.

    Fils d'Armand-Louis de Vignerot du Plessis (1683-1750), duc d'Aiguillon et arrière-petit-neveu du cardinal de Richelieu, et d'Anne-Charlotte de Crussol de Florensac (1700-1772), Emmanuel-Armand du Plessis-Richelieu entre dans l'armée à l'âge de 17 ans et devient colonel du régiment de Brie à 19 ans. Il sert en Italie pendant la guerre de Succession...

    Il ne tarde pas à se rendre très impopulaire dans un pays d'état qui jouit de nombreux privilèges ou « libertés ». Il s'oppose aux états provinciaux pour leur imposer les impositions royales en 1758 et entre en conflit avec le Parlement de Bretagne en 1762. En juin 1764, sur les instances de d'Aiguillon, le Roi annule un arrêt du Parlement interdis...

    Le 11 novembre 1765, Louis-René Caradeuc de La Chalotais (1701-1785), procureur général du Parlement, est arrêté. Le conflit entre d'Aiguillon et les Bretons dure deux ans. Pour tenir l'office du Parlement, qui s'est mis en vacances, d'Aiguillon organise en janvier 1766 un tribunal spécial, ironiquement appelé « le bailliage d'Aiguillon », qui est ...

    Entretemps, d'Aiguillon fait l'objet, en mars 1770, d'une information judiciaire ouverte contre lui par le Parlement de Bretagne et, le 2 juillet 1770, le Parlement de Paris rend à son encontre un arrêt d'indignité. Le roi doit intervenir pour suspendre les poursuites et casser l'arrêt.

    D'Aiguillon est alors l'un des membres du « triumvirat », avec le chancelier Maupeou et l'abbé Terray. Après une vacance de près de six mois du département, il trouve en arrivant aux Affaires étrangères une situation difficile. Tout à fait inexpérimenté dans les questions diplomatiques, il n'est guère capable de la redresser. Ennemi résolu de la ma...

    Il doit assister impuissant au partage de la Pologne opéré par le traité du 5 août 1772 entre la Russie et la Prusse. Mais en Suède, alliée traditionnelle de la France, il soutient avec succès le coup d'état de Gustave III le 19 août 1772. Par solidarité de famille, il appuie les démarches de l'Espagne et de Naples auprès de Clément XIV pour obteni...

    D'Aiguillon est également nommé secrétaire d'État de la Guerre pour quelques mois en 1774, tout en conservant les Affaires étrangères. Il apparaît alors comme la véritable tête du ministère.

    Le 22 juillet 1774, la Gazette dUtrecht laccuse de soutenir un réseau de nouvelles à la main7. Le duc croit y déceler la plume de Beaumarchais8. Le 29 du même mois, il fait savoir au comte de Vergennes que les calomnies de la Gazette Utrecht sont des insultes soufflées aux folliculaires par le comte de Guines9.

    Il retrouve Linguet sur sa route. Ce dernier réclame la somme de 120 000 livres pour service rendus, et une compensation pour les dangers encourus et dans une affaire où il a manqué de laisser sa réputation, et pour avoir fait gagner un procès, selon ses dires, comme la couronne de France nen a connu depuis Hugues Capet.

  3. Armand-Emmanuel-Sophie-Septimanie de Vignerot du Plessis, duc de Richelieu, est un officier, diplomate et homme politique français, né le 25 septembre 1766 à Paris et mort le 17 mai 1822 dans la même ville. Il est le deuxième président du Conseil des ministres en titre de l'histoire de France.

  4. Emmanuel Armand de Vignerot du Plessis, Duke of Aiguillon (31 July 1720 – 1 September 1788), was a French soldier and statesman, and a nephew of Armand de Vignerot du Plessis, 3rd Duke of Richelieu. He served as the Secretary of State for Foreign Affairs under King Louis XV. Early life and intrigue.

  5. Armand-Désiré de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d’Aiguillon et duc d’Agenois, pair de France, est un aristocrate et un militaire français, né le 31 octobre 1761 à Paris et mort le 4 mai 1800 à Hambourg. Général de brigade de cavalerie, il fut partisan de la Révolution jusqu’en 1792. Avant la Révolution.