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  1. La Troisième République, ou IIIe République, est le régime républicain en vigueur en France de septembre 1870 à juillet 1940, soit pendant presque 70 ans, le premier à s'imposer en France dans la durée depuis 1789.

  2. Moeda. Franco. A Terceira República Francesa (em francês: La Troisième République) foi o regime republicano que vigorou na França entre 1870 e 1940, tendo sido o primeiro regime durável a se estabelecer no país desde 1789. De fato, a partir da Revolução Francesa e ao longo de aproximadamente 80 anos, os franceses seriam ...

  3. The French Third Republic (French: Troisième République, sometimes written as La III e République) was the system of government adopted in France from 4 September 1870, when the Second French Empire collapsed during the Franco-Prussian War, until 10 July 1940, after the Fall of France during World War II led to the formation of ...

  4. De Wikipedia, a enciclopédia encyclopedia. A Terceira República Francesa ( em francês: La Troisième République) foi o regime republicano que vigorou na França entre 1870 e 1940, tendo sido o primeiro regime durável a se estabelecer no país desde 1789. De fato, a partir da Revolução Francesa e ao longo de aproximadamente 80 anos, os ...

    • La Soudaine Proclamation de La République
    • La Fondation de La République
    • La République Des Républicains
    • La République modérée : Le Temps Des Crises
    • La République Radicale
    • La République et La Marche à La Guerre
    • La République et La Première Guerre Mondiale

    La révolution du 4 septembre

    À l'annonce du désastre de Sedan (1er septembre 1870) suivie le lendemain de celle de la capture de l'empereur Napoléon III, les milieux politiques réclament la déchéance du régime. À Paris, pendant que le Corps législatif délibère, la foule manifeste avec colère pour la république. Celle-ci est proclamée par Gambettaà l'Hôtel de Ville le 4 septembre 1870.

    Le gouvernement de la Défense nationale

    Les républicains forment le gouvernement de la Défense nationale, qui reste dans Paris assiégé et envoie en province une délégation menée par Gambetta. Le 28 janvier 1871, il signe avec Bismarckun armistice prévoyant l'élection d'une Assemblée nationale. Celle-ci est élue le 8 février au terme d'élections transformées en référendum « la guerre ou la paix ». Les monarchistes, partisans de la paix, l'emportent largement sur les républicains, qui veulent la guerre à outrance.

    La Commune

    Réunie à Bordeaux, l'Assemblée nationale nomme Thiers chef du pouvoir exécutif. Avec Jules Favre, il conclut la paix avec l'Allemagne (préliminaires de Versailles, 26 février, confirmés par le traité de Francfort, 10 mai). L'Assemblée s'installe à Versailles. Contre elle éclate l'insurrection de la Commune(18 mars-27 mai 1871), réprimée impitoyablement par Thiers.

    Thiers renversé

    Celui-ci devient président de la République : la loi Rivet (août 1871), qui lui confère le pouvoir exécutif, le rend également reponsable devant l'Assemblée. Le pays se relève : le paiement de l'indemnité de guerre hâte la libération du territoire (1873). S'étant prononcé en faveur d'une république conservatrice (« La République sera conservatrice ou elle ne sera pas », message de Thiers à l'Assemblée nationale le 13 novembre 1872), Thiers est renversé par l'Assemblée (24 mai 1873) et remplac...

    L'amendement Wallon et la Constitution

    La restauration semble imminente. Mais orléanistes et légitimistes ne peuvent s'entendre (octobre 1873). Le centre gauche orléaniste vote, avec les républicains, l'amendement Wallon(30 janvier 1875), qui introduit le mot « République », puis les trois lois constitutionnelles des 24 et 25 février et 16 juillet 1875, qui tiennent lieu de Constitution. La Constitution fonde une véritable monarchie parlementaire avec un président, élu pour 7 ans par les deux chambres ; un ministère responsable ;...

    La crise de mai 1877

    S'étant séparée le 31 décembre 1875, l'Assemblée nationale est remplacée, le 8 mars 1876 (élections des 20 février et 5 mars 1876), par une Chambre des députés à forte majorité républicaine, mais les conservateurs restent légèrement majoritaires au Sénat. Inquiet de cette évolution vers la gauche, Mac-Mahon renvoie Jules Simon (→ crise du 16 mai 1877) et constitue un ministère d'Ordre moral, présidé par le duc de Broglie, aussitôt mis en minorité par la Chambre (16 juin 1877). Avec l'accord d...

    L'instabilité ministérielle

    Il est remplacé par Jules Grévy, dont l'élection consacre l'avènement de la « République des républicains » (1879-1890). Ceux-ci concrétisent leur succès en décidant le retour des chambres à Paris (novembre 1879) et en votant une loi d'amnistie en faveur des condamnés de la Commune (juillet 1880). La majorité est divisée entre opportunistes et radicaux. Les premiers souhaitent réaliser progressivement des réformes, les seconds voudraient les précipiter. Mais les uns et les autres sont issus d...

    Le ministère Ferry

    L'instabilité ministérielle devient une règle en France. Seul Jules Ferry parvient à se maintenir longtemps au pouvoir (il est notamment président du Conseil de septembre 1880 à novembre 1881 et de février 1883 à mars 1885). L'œuvre de Ferry présente un triple aspect, politique, scolaire et colonial : – affermissement du régime par l'organisation des libertés publiques de réunion (juin 1881), de la presse (28 juillet 1881) et syndicales (1884) ; – institution de l'école primaire gratuite (16...

    La crise boulangiste

    La République opportuniste a déçu beaucoup de Français. La crise de la présidence, déclenchée par l'affaire du trafic de décorations autour de Wilson, gendre de Jules Grévy, entraîne la démission du président de la République. Les mécontents ont trouvé un syndic en la personne du général Boulanger, ministre de la Guerre de janvier 1886 à mai 1887, dont la position a été renforcée lors d'un incident de frontière avec l'Allemagne (affaire Schnæbelé, avril 1887). D'abord acclamé par les foules,...

    En dépit du scandale de Panamá, en dépit aussi des attentats anarchistes entre 1892 et 1894 (assassinat du président de la République Sadi Carnot, juin 1894), le régime paraît définitivement consolidé. Les partis monarchistes s'affaiblissent de plus en plus aux élections de 1889 et 1893, tandis que s'opère le ralliement des catholiques à la Républi...

    L'affaire Dreyfus a déterminé un glissement à gauche de la majorité, la constitution d'un ministère de Défense républicaine, dirigé par Waldeck-Rousseau (juin 1899-juin 1902), et le regroupement des républicains en un Bloc des gauches, à l'intérieur duquel les socialistes et les radicaux s'unissent.

    Expansion coloniale

    Aristide Briand, devenu chef du gouvernement (24 juillet 1909-27 février 1911), cherche, sous le signe de l'« apaisement », des combinaisons nouvelles entre les partis et les groupes parlementaires qui acquièrent la représentation proportionnelle à leur effectif au sein des différentes commissions (1910). En juin 1911, Joseph Caillaux constitue un gouvernement qui se heurte très vite à une nouvelle menace allemande par le biais du problème marocain (envoi d'un navire de guerre allemand en rad...

    Rétablissement du service de trois ans

    Si la France est alors la seconde puissance coloniale et un grand pays d'épargne, des points noirs subsistent : la stagnation démographique (en 1913, 39 800 000 Français contre 66 millions d'Allemands), et de nombreuses difficultés intérieures et extérieures altèrent le climat politique. L'augmentation par l'Allemagne de ses effectifs sous les drapeaux (juillet 1913) oblige le Parlement français à rétablir le service de trois ans (7 août 1913), ce qui mécontente d'autant plus la gauche qu'ell...

    L'« Union sacrée »

    La situation balkanique s'aggrave brusquement à la suite de l'assassinat, à Sarajevo, de l'archiduc François-Ferdinand(28 juin 1914). La menace de guerre exalte le nationalisme français et aboutit à l'assassinat de Jaurès (31 juillet 1914). Tous les partis acceptent la mobilisation générale, qui s'opère dans l'enthousiasme. Ainsi se réalise l'« Union sacrée », réclamée par Poincaré au moment de la déclaration de guerre de l'Allemagne à la France (3 août). Pendant la guerre, tous les cabinets...

    Le retour de Clemenceau

    Après la rupture de l'Union sacrée, Clemenceau redevient président du Conseil (16 novembre 1917-18 janvier 1920) et instaure une dictature de fait, respectant les formes constitutionnelles, mais n'hésitant pas à frapper les hommes politiques soupçonnés de vouloir négocier (Malvy, Caillaux). L'armistice de Rethondes(11 novembre 1918) est accueilli par des transports de joie. Mais la victoire a été chèrement payée : près de 1 390 000 Français tués, 740 000 invalides, d'immenses destructions, un...

  5. 15 de jan. de 2024 · Trois lois constitutionnelles votées en 1875 organisent un régime parlementaire doté d’un Parlement bicaméral. Le président de la République est élu par les deux chambres ; La IIIe République dure 70 ans, ce qui en fait le régime qui a connu la plus grande longévité. En détail. Tout déplier. 1 Une construction complexe. 2 Des origines ambiguës.

  6. 16 de jun. de 2019 · La Troisième République, ou IIIe République, est le régime républicain en vigueur en France de septembre 1870 à juillet 1940, soit pendant presque 70 ans, le premier à s'imposer en France dans la durée depuis 1789.