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  1. Manuscrit autographe de la nouvelle version de la dédicace à Gautier, beaucoup plus ramassée de manière à lui donner la force d’une inscription épigraphique. Le nombre variable des traits de soulignement sert à Baudelaire à indiquer au typographe l’importance relative à donner, par la taille des caractères, aux différents éléments d’un texte destiné à être entièrement ...

  2. Bienvenue sur la page de Poetica Mundi consacrée à Théophile Gautier. Vous y trouverez des liens vers tous ses poèmes. Théophile Gautier est un romancier, critique d'art et poète parnassien français du XIXe siècle. Né en 1811 et mort en 1872, le dédicataire des Fleurs du mal est au centre de la vie littéraire de son époque.

  3. LE COURS EN PDF. LES ACTIVITÉS. Dans un texte préparé en vue de l’édition des Fleurs du Mal de 1861, Baudelaire interpelle la ville de Paris en expliquant ce qu’a été sa mission de poète : « Ô vous, soyez témoins que j’ai fait mon devoir. Comme un parfait chimiste et comme une âme sainte.

  4. Dans L'Artiste, le 13 mars 1859, Baudelaire, le premier, avait consacré à son confrère une étude s'achevant sur ces mots : "Partait homme de lettres". Et l'on connaît la somptueuse dédicace des Fleurs du mal adressée "Au poète impeccable, au partait magicien es lettres françaises, à mon très cher et très vénéré maître et ami".

  5. 1. Le paratexte du Mal. 1.2. Le Mal dans la dédicace des Fleurs du Mal et du Spleen de Paris. Les Fleurs du Mal et Le Spleen de Paris comptent chacun, plus d’une dédicace. On note, d’abord, au début de chacun des deux recueils, une épître dédicatoire : A Théophile Gautier dans Les Fleurs du Mal et A Arsène Houssaye dans Le Spleen de ...

  6. Les Fleurs du Mal: seconde version de la dédicace à Théophile Gautier Chez Poulet-Malassis et de Broise (Paris), 1857 Épreuves d’imprimerie de l’édition originale corrigées par Baudelaire et portant son « bon à tirer »

  7. Mais le véritable maître de Baudelaire est Théophile Gautier, son « maître et ami », « poète impeccable, parfait magicien de lettres françaises. En 1857, il lui dédit ses « Fleurs du mal » et lui envoie son recueil accompagné d'une lettre dédicace : « À mon très cher et très vénéré maître et ami Théophile Gautier