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L'École libre des sciences politiques (ELSP), dite familièrement « Sciences Po », est un établissement français privé d'enseignement supérieur créé en 1871 par Émile Boutmy [1]. Elle est l'ancêtre de l' Institut d'études politiques de Paris et de la Fondation nationale des sciences politiques qui, en tant qu'ensemble ...
The school was established in 1872 by Émile Boutmy as the École libre des sciences politiques in the aftermath of the Franco-Prussian War as a private institution to form a new French elite that would be knowledgeable in political science, law and history.
The École Libre des Sciences Politiques (ELSP) was founded in 1872 by Émile Boutmy in response to the political and moral crisis in France in the aftermath of the 1870 Franco-Prussian War. It was intended to educate the new elite and generate modern knowledge for a new France. A French exception.
17 de set. de 2020 · Até 1945, era chamada de “École Libre des Sciences Politiques”, origem do apelido pelo qual é conhecido ainda hoje. O Sciences Po é reconhecido por formar futuros responsáveis pelos setores público e privado, franceses e internacionais, nas áreas de direito, ciências sociais e relações internacionais.
Sciences Po a vu le jour sous le nom de "l'École Libre des Sciences Politiques", créée en 1872 par Émile Boutmy pour répondre à la crise politique et morale qui frappe la France au lendemain de la guerre de 1870. Elle entend former de nouvelles élites et produire des savoirs modernes pour une France nouvelle.
Description. Le fonds 1 SP conserve l'ensemble des archives administratives de l’ELSP depuis sa fondation jusqu'à la nationalisation de 1945. Le fonds est structuré en quatre parties : les archives de la création de l’École, celles relatives à l’administration de la société, les relations de l’École avec d’autres ...
1 de mai. de 2024 · Sciences Po est l’héritière directe d’une institution fondée en 1872 de la volonté d’Emile Boutmy : l’Ecole libre des sciences politiques. Dans une célèbre lettre du 25 février 1871, au lendemain de la défaite contre la Prusse, l’écrivain voulait répandre la « culture libérale supérieure ».
