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  1. Jacqueline de Bueil (1588-1651), was a French noblewoman and mistress to Henry IV of France in 1604-1608. Early life. She was born as daughter of Claude de Bueil, Seigneur de Courcillon (1537-1596) and his wife Catherine de Montcler.

  2. Jacqueline de Bueil, comtesse de Moret, née en 1588 et morte empoisonnée à Vardes en 1651 [1], est la fille de Claude de Bueil, seigneur de Courcillon et de La Marchère. Biographie [ modifier | modifier le code ]

  3. Jacqueline de Bueil, condesa de Moret (1588-1651 en Moret-sur-Loing) fue una amante del rey francés Enrique IV . Biografía[editar] Jacqueline provenía de una familia noble empobrecida. Era hija de Claude de Bueil y su esposa Catherine de Monteclerc.

    • Francesa
    • Octubre de 1651, Neuf-Marché (Francia)
    • Claude de Bueil, Seigneur de Courcillon, Catherine de Montcler
    • 1588, Francia
  4. Jacqueline de Bueil, Comtesse de Moret en Gâtinais, was a French noblewoman, a mistress to Henri IV of France with whom she had a child, Antoine de Bourbon, Comte de Moret, Abbé de St.Etienne (1607-1632). She was the daughter of Claude de Bueil, Seigneur de Courcillon et de La Marchere, and his wife, Catherine de...

    • Moret-sur-Loing, Île-de-France
  5. Explore genealogy for Jacqueline (Bueil) de Bueil born 1588 Royaume de France died 1651 Vardes, Neuf-Marché, Royaume de France including ancestors + descendants + 1 photos + more in the free family tree community.

    • Female
    • October 1, 1651
    • René (Crespin) Crespin du Bec
  6. Il y reconnaît Jacqueline de Bueil, comtesse de Moret (1588-1651), dont le portraitiste de cour Daniel Dumonstier (1574-1646) réalisa trois portraits (BNF, Est., Na 24a rés. f°38, 39, 40). Cependant, outre l’incompatibilité des dates, les dissemblances entre la physionomie décrite par le dessin de Reims et les portraits de Jacqueline de ...

  7. Histoire. Le prieuré de Moret est fondé par Jacqueline de Bueil, la comtesse de Moret, et le marquis de Vardes, son second époux. Dès 1638, deux religieuses de l'ordre de Saint-Benoît, appelées par la comtesse de Moret, arrivent dans la ville et se voient attribuer un modeste logement.