Yahoo Search Busca da Web

Resultado da Busca

  1. 8 de mai. de 2024 · (Re)Découvrez les grands auteurs de la poésie classique. Plus de 6500 poésies qui ont marqué la littérature française. lisez de la poésie classique... Le forum littéraire. Permet d'ouvrir des discutions publiques sur des sujets variés. Vous y trouverez aussi des informations sur votre site de poésie. participez aux discutions...

  2. 13 de mai. de 2024 · (Re)Découvrez les grands auteurs de la poésie classique. Plus de 6500 poésies qui ont marqué la littérature française. lisez de la poésie classique... Le forum littéraire. Permet d'ouvrir des discutions publiques sur des sujets variés. Vous y trouverez aussi des informations sur votre site de poésie. participez aux discutions...

  3. Há 3 dias · Venez partager vos poèmes, vos tableaux. Tout sur la poésie d'hier et d'aujourd'hui, des poèmes sur tous les thèmes, des poètes célébres, poésie et peinture, écriture sur toile, poèmes libre, poèmes interprétés, poèmes lus.

  4. 17 de mai. de 2024 · Renaissance and Reformation / Renaissance et Réforme is published by Iter Press. ISSN: 0034-429X (print / version papier) ISSN: 2293-7374 (online / version en ligne)

  5. 10 de mai. de 2024 · Poésies and Complete Miscellanea comte de Lautréamont.1978 The Book of Nightmares Galway Kinnell.1971 A book-length poem evokes the horror, anguish, and brutality of 20th century history. Oxen Rage Juan Gelman.2015 Poetry. Latino/Latina Studies. Translated from the Spanish by Lisa Rose Bradford.

  6. 16 de mai. de 2024 · 2 poetas-malditos-acercamiento-a-la-poesia-del-mal tones, and voices that articulate Gelman's experimental conceptualization of poetic creation as a process of translation.

  7. le-sens-des-mots.com › category › poesiesPoésies | lesensdesmots

    24 de mai. de 2024 · Les gouttes d’existence coulent sur la peau durcie de la nuit étoilée. Tu poses tranquillement sur mes lèvres l’odeur humide du désir dans l’attente de l’aube. Nos corps complètent le dôme ténébreux recouvrant les parfums des sous-bois où nous oublions les lumières du passé, il n’y a de vrai que tes yeux rougis de fièvre ...