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  1. - Honoré de Balzac, Le père Goriot, 1835 _____ [But seriously...] I just finished rereading Le Père Goriot. I first read it over twenty years ago, and whether it was due to insufficient French or insufficient understanding of La Comédie humaine, I didn't properly appreciate it. This time, having read ten Balzacs over the last year, I was ...

  2. De cette façon, le père Goriot s’est ruiné en désirant offrir une éducation modèle à ses deux enfants. Anastasie se trouve désormais mariée au Comte de Restaud et Delphine a épousé le banquier Nucingen. Maintenant que le père Goriot est pauve, ses gendres le méprisent et ne l’estiment plus du tout de la même façon.

  3. Le Père Goriot, écrit par Honoré de Balzac en 1835, est l’une des œuvres les plus célèbres de la littérature française. Ce roman réaliste raconte l’histoire de la vie misérable de Goriot, un père de famille dévoué, et de sa relation avec ses deux filles ingrates. À travers ce récit, Balzac dépeint avec minutie la société parisienne du XIXe siècle, mettant en lumière les ...

  4. Balzac sent a letter to his printer Everat, pointing out that Le Père Goriot will not be a “short story” as originally planned, but a much longer work. To Madame Hanska, on December 28 1834, Balzac gives a description of his novel that completes his first definition: ” Le Père Goriot is a beautiful work

  5. Le jeune Rastignac est montré comme un étudiant beau et intelligent, à l’opposé du Père Goriot tant moqué. Balzac le suit depuis le bal donné par sa cousine éloignée, Mme de Beause’ant, où il fait son entrée ambitieuse dans la société parisienne, avec l’appui de sa tante Mme de Marcillac, jusqu’à son retour à la pension.

  6. Chapitre 4 La mort du père Rastignac et le père Goriot font les derniers rangements dans leurs chambres rue Neuve-Sainte-Geneviève, quand Delphine entre précipitamment chez son père. Rastignac tend l’oreille à travers la cloison. Menacé d’un procès par le père Goriot, le comte de Nucingen a révélé sa véritable situation.

  7. Le Père Goriot Balzac Balzac résume l'intrigue du Père Goriot d'une manière lapidaire : « Un brave homme – pension bourgeoise – 600 F de rentes – s'étant dépouillé pour ses filles qui, toutes deux, ont 50 000 F de rentes – mourant comme un chien.