Yahoo Search Busca da Web

Resultado da Busca

  1. Dans Thérèse Raquin, jai voulu étudier des tempéraments et non des caractères. Là est le livre entier. J’ai choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre arbitre, entraînés à chaque acte de leur vie par les fatalités de leur 5

    • 870KB
    • 420
  2. 11 de set. de 2009 · Thérèse Raquin. by. Zola, Emile, 1840-1902. Publication date. 1886. Publisher. Paris G. Charpentier. Collection. robarts; universityofottawa; toronto.

  3. THÉRÈSE RAQUIN, DRAME. Drame en quatre actes Représentée pour la première fois à Paris sur le théâtre de la Renaissance, le 11 juillet 1873. ZOLA Émile (text) 1875. Texte établi par Paul Fièvre avril 2021. Publié par Ernest, Gwénola et Paul Fièvre pour Théâtre-Classique.fr, Avril 2021. Pour une utilisation personnelle ou pédagogique uniquement.

  4. 1 de fev. de 2005 · Download or read online the classic French novel by Émile Zola, about a woman trapped in a loveless marriage and a murderous affair. Choose from various formats, including EPUB, Kindle, and plain text.

    • ROMANS ET NOUVELLES
    • J'avais naïvement cru que ce roman pouvait se pas-
    • Dnstater que mes confrères ont des nerfs sensibles de
    • Raquin ne me paraii
    • Donc il faut que je présente moi-même mon œuvre
    • J'ai choisi des personnages souverainement dominé
    • On commence, j'espère, à comprendre que mon but
    • PREFACE
    • Il était facile, cependant, de comprendre Thérèse
    • « Vous avez un immense défaut qui vous fermera toutes
    • Le désir de ne rien perdre de ses observations a poussé
    • Je voulais répondre en vingt lignes à des attaques
    • THÉRÈSE RAQ.UIN
    • THÉRÈSE RAQUW
    • A droite, sur toute la longueur du passage, s'étend
    • THÉRÈSE RAQOIH
    • Le soir, trois becs de gaz, enfermés dans des lan-
    • H THÉRÈSE RAQUIR
    • Il y a quelques années, en face de cette marchande,
    • Plus bas, assis sur une chaise, un homme d'une tren-
    • La vieille dame, après avoir embrassé son fils et sa
    • Madame Raquin était une ancienne mercière de
    • Elle loua, moyennant quatre cents francs, une petite
    • Camille avait alors vingt ans. Sa mère le gâtait en-
    • Camille, grandi, sauvé de la mort, demeura tout
    • THÉRÈSE RAQUIN
    • i mourrait
    • A dix-huit ans, désœuvré, s'ennuyant à mourir dans
    • THÉRÈSE RAQUIN
    • Thérèse grandit, couchée dans le même lit que Ca-
    • Lorsque madame Raquin vendit son fonds et qu'elle
    • Les enfants savaient depuis longtemps qu'ils de-
    • Camille, dont la maladie avait appauvri le sang,
    • La jeune fille, elle aussi, semblait rester froide et
    • THÉRÈSE RAQUIH
    • Madame Raquin ne dormit pas de la nuit. La décision
    • Thérèse ne fut pas consultée
    • Madame Raquin vint à Paris et alla droit au passage
    • Madame Raquin, qui avait près de quatre mille francs
    • THÉRÈSE RAQUIN
    • Vous deux, VOUS serez ensemble, vous ne vous ennuie-
    • THÉRÈSE RAQUIM
    • Dame, et contemplait les échafaudages dont l'église,
    • Madame Raquin se montrait plus souple, plus ba-«
    • On jour sur sept, le jeudi soir, la famille Raquin re-
    • Dès lors, les réunions devinrent charmantes. A sept
    • La jeune femme se levait péniblement et venait reprendre sa place en face du vieux Michaud, dont les
    • Un jeudi, en revenant de son bureau, Camille amen»
    • — Gomment! reprit Camille, tu ne reconnais pas
    • Madame . Raquin se souvint brusquement du petit
    • Thérèse, qui n'avait pas encore prononcé une parole,
    • Puis elle s'oublia à considérer les grosses mains qu'il
    • THÉRÈSE RAQUIN
    • Camille l'écoutait, le regardait avec un étonnemenl
    • IHÉRÈSE BAQUII*
    • — La première fois, reprit-il comme se parlant à lui-
    • — Nous sommes en é(
    • Laurent se comporta en bon enfant. Il comprit la
    • Thérèse, ce soir-là,ne chercha pas à descendre à la
    • Vi
    • Camille.

    Thérèse Raquin, nouvelle édition Madeleine Fèrat, nouvelle édition

    er de préface. Ayant l'habitude de dire tout haut ma ensée, d'appuyer même sur les moindres détails de ce ue j'écris, j'espérais être compris et jugé sans expli- ation préalable. Il paraît que je me suis trompé. La critique a accueilli ce livre d'une voix brutale et idignée. Certaines gens vertueux, dans des journaux on moins vertueux, ont fait une...

    1 n ' PREFACE jeune fille. Il est bien évident que mon œuvre appar- tient à mes juges, et qu'ils peuvent la trouver nauséa- bonde sans que j'aie le droit de réclamer. Ce dont je mi plains, c'est que pas un des pudiques journalistes s qui ont rougi en lisant Thérèse

    avoir compris ce roman. S'ils l'avaient compris, peut- être auraient-ils rougi davantage, mais au moins j( goûterais à cette heure l'intime satisfaction de les voii écœurés ajuste titre. Rien n'est plus irritant que d'en- tendre d'honnêtes écrivains crier à la dépravation lorsqu'on est intimement persuadé qu'ils crient cel< sans savoir à propos de ...

    l mes juges. Je le ferai en quelques lignes, uniquemen pour éviter à l'avenir tout malentendu. Dans Thérèse Raquin, j'ai voulu étudier des tempé- raments et non des caractères. Là est le livre entier

    par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre ar bitre, entraînés à chaque acte de leur vie par les fala lités de leur chair. Thérèse et Laurent sont des brute \ "humaines, rien de plus. J'ai cherché à suivre pas à pa dans ces brutes lejtraïail sourd des passions, les pous I sées de l'instinct, les détraquements cérébraux surve ) nus à la suite ...

    a été un but scientifique avant tout. Lorsque mes deux personnages, Thérèse et Laurent^ ont été créés, je me suis plu à me poser et à résoudre certains problèmes : ainsi, j'ai tenté d'expliquer l'union étrange qui peut se produire entre deux tempéraments différents, j'ai montré les troubles profonds d'une nature sanguine au contact d'une nature ner...

    critique se déclare scandalisé par les chairs vivantes de leur œuvre. Tant que j'ai écrit Thérèse Raquin, j'ai oublié le monde, je me suis perdu dans la copie exacte et minutieuse de la vie, me donnant tout entier à l'analyse du mécanisme humain, et je vous assure que les amours cruelles de Thérèse et de Laurent n'avaient pour moi rien d'immoral, r...

    Haquin, de se placer sur le terrain de l'observation er de l'analyse, de me montrer mes fautes véritable?, sans aller ramasser une poignée de boue et me la jeter à la face au nom de la morale. Cela demandait un peu d'intelligence et quelques idées d'ensemble en vraie critique.^ Le reproche d'immoralité, en matière de science, ne prouve absolument r...

    les portes : vous ne pouvez causer deux minutes avec un imbécile sans lui faire comprendre qu'il est un im-bécile. » Cela doit être; je sens le tort que je me fais auprès de la critique en l'accusant d'inintelligence, et je ne puis pourtant m'empêcher de témoigner le dédain que j'éprouve pour son horizon borné et pour les juge- ments qu'elle rend à...

    l'auteur à mettre chaque détail en avant, ce qui a donné encore plus de tension et d'âpreté à l'ensemble. D'autre part, le style n'a pas la simplicité que demande un roman d'analyse. Il faudrait, en somme, pour que l'écrivain fît maintenant un bon roman, qu'il vît la so- ciété d'un coup d'oeil plus large, qu'il la peignît sous ses aspects nombreux ...

    irritantes par leur naïve mauvaise foi, et je m'aper- çois que je me mets à causer avec moi-même, comme cela m'arrive toujours lorsque je garde trop longtemps une plume à la main. Je m'arrête, sachant que les lec- teurs n'aiment pas cela. Si j'avais eu la volonté et le loisir d'écrire un manifeste, peut-être aurais-je essayé de défendre ce qu'un jo...

    Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu'on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jau- nâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité acre le vitrage qui le ; couvre, ...

    les vitres ne jettent que de la nuit sur les dalles gluantes, de la nuit salie et ignoble. A gaucne, se creusent des boutiques obscures, basses, écrasées, laissant échapper des souffles froids de caveau. Il y a là des bouquinistes, des marchands de jouets d'enfant, des cartonniers, dont les étalages gris de poussière dorment vaguement dans l'ombre ...

    une muraille contre laquelle les boutiquiers d'en face ont plaqué d'étroites armoires; des objets sans nom, des marchandises oubliées là depuis vingt ans s'y étalent le long de minces planches peintes d'une hor- rible couleur brune. Une marchande de bijoux faux s'est établie dans une des armoires ; elle y vend des bagues de quinze sous, délicatemen...

    13 travail, des ouvrières reportant leur ouvrage , des hommes et des femmes tenant des paquets sous leur bras; on y voit encore des vieillards se traînant dans le crépuscule morne qui tombe des vitres , et des bvtndes de petits enfants qui viennent là, au sortir de l'école, pour faire du tapage en courant, en tapant à coups de sabots sur les dalles...

    ternes lourdes et carrées, éclairent le passage. Ces becs de gaz, pendus au- vitrage sur lequel ils jettent des taches de clarté fauve, laissent tomber autour d'eux dfs ronds d'une lueur pâle qui vacillent et semblent disparaître par instants. Le passage prend l'aspect sinistre d'un véritable coupe-gorge; de grandesombres s'allongent sur les dalles...

    ce qu'il y a au fond de ces trous où la nuit habite pen- dant le jour. Sur la ligne noirâtre des devantures, les vitres d'un cartonnier flamboient : deux lampes à schiste trouent l'ombre de deux flammes jaunes. Et, de l'autre côté , une bougie , plantée au milieu d'un verre à quinquet, met des étoiles de lumière dans la botte de bijoux faux. La mar...

    se trouvait une boutique dont les boiseries d'un vert bouteille suaient l'humidité par toutes leurs fentes. L'enseigne, faite d'une planche étroite et longue, por- tait, en lettres noires, le mot : Mercerie, et sur une des vitres de la porte était écrit un nom de femme : Thé- rèse Raquin , en caractères rouges. A droite et à gauche s'enfonçaient de...

    taine d'années lisait ou causait à demi-voix avec la jeune femme. Il était petit, chétif, d'allure languis- sante; les cheveux d'un blond fade, la barbe rare, le visage couvert de taches de rousseur, il ressemblait à un enfant malade et gâté. Un peu avant dix heures, la vieille dame se réveil-lait. On fermait la boutique, et toute la famille montai...

    belle-fille, se retirait chez elle. Le chat s'endormait sur une chaise de la cuisine. Les époux entraient dans leur chambre. Cette chambre avait une seconde porte don- nant sur un escalier qui débouchait dans le passage par une allée obscure et étroite. Le mari, qui tremblait toujours de fièvre, se mettait au lit ; pendant ce temps, la jeune femme ...

    Vernon. Pendant près de vingt-cinq ans, elle avait vécu dans une petite boutique de cette ville. Quelques an- nées après la mort de son mari, des lassitudes la pri- rent, elle vendit son fonds. Ses économies jointes au prix de cette vente mirent entre ses mains un capital de quarante mille francs qu'elle plaça et qui lui rap- porta deux mille franc...

    maison dont le jardin descendait jusqu'au bord de la

    core comme un petit garçon. Elle l'adorait pour l'avoir disputé à la mort pendant une longue jeunesse de souffrances. L'enfant eut coup sur coup toutes les fièvres, toutes les maladies imaginables. Madame Ra- quin soutint une lutte de quinze années contre ces maux terribles qui venaient à la file pour lui arracher I son fils. Elle les vainquit tous...

    frissonnant des secousses répétées qui avaient endo-lori sa chair. Arrêté dans sa croissance, il resta petit et malingre. Ses membres grêles eurent des mou- vements lents et fatigués. Sa mère l'aimait davantage pour cette faiblesse qui le pliait. Elle reg^irdait sa pauvre petite figure pâlie avec des tendresses triom- phantes, et elle songeait qu'e...

    > d'envoyer son fils au collège elle savait qu'il ;

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

    Ml Laurent, dans le coin sombre de la voiture publique qui le ramena à Paris, acheva de mûrir son plan. Il était presque certain de l'impunité. Une joie lourde et anxieuse, la joie du crime accompli, l'emplissait. Ar- rivé à la barrière de Clichy, il prit un fiacre, il se fit conduire chez le vieux Michaud, rue de Seine. Il était neuf heures du soi...

  5. 15 de jun. de 2008 · Worldcat (source edition) 3078448. Year. 1882. Book digitized by Google from the library of the New York Public Library and uploaded to the Internet Archive by user tpb.

  6. 5 de jan. de 2003 · Read the classic novel of passion, murder and guilt by the French naturalist writer Émile Zola. This eBook is a translation and edition of the original French text, with a preface by Edward Vizetelly.