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29 avril 1818 - 13 mars 1881 : Alexandre II, de l'espoir à la tragédie - L'attentat intervient au moment où le tsar libérateur prépare l'avènement d'une monarchie constitutionnelle. Alexandre II Romanov (1818 - 1881) - La Russie, de l'espoir à la tragédie - Herodote.net
Nous sommes le dimanche 1 er mars 1881, en Russie. Dans la capitale de l’Empire, le tsar a l’habitude de se rendre au manège pour assister à une parade militaire. Dans un contexte de trouble politique et de danger terroriste, malgré les avertissements prodigués par son entourage, Alexandre II décide de faire son devoir.
Le règne d'Alexandre II est marqué par l'attendue abolition du servage en 1861, la plus grande réforme sous ce tsar moderne. Arrivé au pouvoir à l'âge de trente-sept ans, Alexandre est un jeune tsar qui n'a pas une grande velléité de réformes. Pourtant, c'est lui qui les réalisera par la suite malgré la crainte continuelle de la dernière révolte qui a eu lieu, celle de Pougatchev ...
29 avril 1818 - 13 mars 1881 : Alexandre II, de l'espoir à la tragédie - L'attentat intervient au moment où le tsar libérateur prépare l'avènement d'une monarchie constitutionnelle. Alexandre II Romanov (1818 - 1881) - La Russie, de l'espoir à la tragédie - Herodote.net
Alexandre II, né à Moscou le 29 avril 1818 et mort à Saint-Pétersbourg le 13 mars 1881, est empereur de Russie du 3 mars 1855 au 13 mars 1881. Dit « le Libérateur », il est est également grand-duc de Finlande et roi de Pologne jusqu'en 1867, date à laquelle la Pologne est formellement annexée par l'Empire russe.
8 de mar. de 2023 · Le 5 février 1880, ses membres font exploser une bombe dans la salle à manger du palais d'Hiver, tuant 11 personnes. Le 13 mars 1881, alors qu’Alexandre II revient d'une revue de sa garde, sur le quai du canal Catherine à Saint-Pétersbourg, des terroristes de Narodnaïa Volia jettent une bombe dans sa direction.
Alexandre II. Alexandre II. (Moscou 1818-Saint-Pétersbourg 1881), empereur de Russie (1855-1881), fils de Nicolas I er. Alexandre II accéda au trône alors que les défaites de la guerre de Crimée révélaient le retard économique de la Russie, cause première de sa faiblesse militaire. Il dut accepter le traité de Paris (mars 1856).
