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  1. Als letzter großer veritabler Dandy scheint der Comte Robert de Montesquiou-Fezensac (1855–1921) die ‘Splendeurs et misères des dandys’ mit allem balzacschen Pathos, das seinerzeit den (letzten) Kurtisanen gegolten hatte, zu repräsentieren und zu resümieren. Er überlebte die Genealogie der großen klassischen Dandys des 19.

  2. Le Portrait du comte Robert de Montesquiou est une peinture à l'huile sur toile (115,5 × 82,5 cm) de Giovanni Boldini, peintre italien installé à Paris ; datable en 1897, l'œuvre, don d'Henri Pinard au nom du comte Robert de Montesquiou, est conservée au musée d'Orsay à Paris. Elle représente le comte Robert de Montesquiou (1855-1921 ...

  3. Robert de Montesquiou ( Marie Joseph Robert Anatole ), conde de Montesquiou-Fézensac ( París, Francia, 7 de marzo de 1855 - Menton, Francia, 11 de diciembre de 1921) fue un aristócrata poeta perteneciente al movimiento simbolista francés, así como mecenas del arte y afamado dandi. Robert de Montesquiou. Conde de Montesquiou-Fézensac.

  4. La commissione del Ritratto di Robert de Montesquiou pervenne al Boldini nel 1897 da Olga Veil-Picard, una delle nobildonne più raffinate di Parigi, che agì come vero e proprio trait d'union relazionale tra il Montesquiou ed il pittore. L'opera, portata a compimento nel 1897, fu esposta al Salon de la Societé Internationale des Beaux-Arts e ...

  5. 12 de out. de 1999 · Voir la notice de l'œuvre. Si le dandy fut une invention du XIXe siècle, Robert de Montesquiou en fut certainement, en France, le type le plus accompli. Aristocrate et esthète, il organisa son autocélébration avec un talent raffiné et posa pour de multiples portraits : ce nouveau Narcisse voulait rendre son image immortelle.

  6. Marie-Joseph-Robert-Anatole de Montesquiou-Fézensac, conde Robert de Montesquiou-Fézensac, mais conhecido como Robert de Montesquiou foi um homem de letras...

  7. Montesquiou serait un des rares littérateurs qui auraient su — et pu - unir l'art et la vie, la vie et le rêve, bref : vivre l'art. Proche en cela de Wilde, il avait mis l'essentiel de son génie dans sa manière de vivre (démarche quelque peu suicidaire : inversant ses initiales, Robert de Montesquiou Fezensac signait parfois « FMR »).