Yahoo Search Busca da Web

Resultado da Busca

  1. François-Xavier Fabre. Porträt von Lucien Bonaparte. François-Xavier Fabre (* 1. April 1766 in Montpellier, Département Hérault; † 16. März 1837 ebenda) war ein französischer Maler, Zeichner, Radierer und Kunstsammler. Als Meisterschüler von Jacques Louis David konnte Fabre 1787 auf der großen Ausstellung des Salon de Paris teilnehmen.

  2. Painter, collector, dealer. David pupil. In Italy from 1787-1824, first in Rome, then in Florence. Returned to France, and settled in Montpellier where died. Left his collection of paintings to Montpellier, where the Musée Fabre was founded in his name.

  3. François-Xavier Fabre, 1766-1837 : de Florence à Montpellier / Laure Pellicer, Michel Hilaire .- Paris : Somogy , 2008 .- 463 p. : ill. en noir et en coul. ; 28 cm Catalogue réalisé pour l'exposition éponyme à Montpellier, Musée Fabre, du 14 novembre 2007 au 24 février 2008.

  4. François-Xavier Fabre Toutes œuvres : François-Xavier Fabre (1766-1837) 1. Autoportrait, vers 1783, Montpellier, musée Fabre 2. Nabuchodonosor fait tuer les enfants de Sédécias en présence de leur père, 1787, Grand Prix de rome, Paris, ecole nationale supérieure beaux-arts 3. La mort d’Abel, 1790, Montpellier, musée Fabre 4.

  5. François-Xavier Fabre (1766-1837), natif de Montpellier, peintre, collectionneur et mécène, a donné une ampleur inédite au musée par le don en 1825 puis le legs en 1837 de sa vaste collection de peintures, de dessins, de sculptures et d’art décoratif. En hommage, le musée de Montpellier porte encore aujourd’hui son nom.

  6. Titre : Neptolème et Ulysse enlèvent à Philoctète les flèches d'Hercule. Description/Features. Inscriptions. Inscription : Au revers, sur la toile, en blanc : MR 99. Signature : Signé, daté en bas vers la gauche dans un rocher : F.X. Fabre. Faciebat Florentiae 1800.

  7. Ritratto di Vittorio Alfieri. François-Xavier Fabre (Montpellier 1776 – Parigi 1837) Firmato e datato in basso a destra “F.X. Fabre. Florentiae 1793” il dipinto era stato iniziato nel luglio di quell’anno come scrisse lo stesso Vittorio Alfieri a un amico senese, al tempo in cui il poeta, lasciata Roma, si era trasferito a Firenze.